* Les condoms ne sont pas infaillibles à 100 %. Il y a suffisamment de preuves de bris et d’utilisation inadéquate de condoms pour que cette activité soit associée à un risque faible.
On croit que la transmission du VIH du partenaire pénétré à l’homme qui le pénètre, durant la pénétration anale non protégée, peut se produire de deux manières. Des fissures ou déchirures très petites, voire microscopiques, sur le pénis, pourraient permettre l’entrée du virus dans l’organisme; une plaie sur le pénis (un ulcère génital, par exemple) peut constituer un risque encore plus grand en offrant un point d’entrée au virus. On dispose aussi de preuves que la transmission peut se produire de façon directe par la muqueuse de l’urètre (dans l’orifice au bout du pénis) ou par le prépuce.